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E-Newsletter / E-bulletin
November 2013 Bulletin - Tazkiya
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August 2013 Bulletin - L'ignoble charte
Par Charbel Hanna Il y a une différence entre pratiquer une religion et porter un symbole religieux. L'État doit être laïc, pas le peuple : l’hypocrisie est d'ailleurs maximale, considérant que l'État est loin d'être le peuple et de le servir. Le cas de la femme musulmane voilée Cette loi, de plus, prive la femme musulmane voilée de bien d'emplois. Or,
la femme ne s'émancipe que dans la production sociale ou économique - cela est
d'autant plus vrai dans le capitalisme. Si on vise une égalité entre hommes et
femmes, on prive la femme musulmane voilée de cette égalité en la rejetant de la
fonction publique, des écoles, des hôpitaux. Ce faisant, on l'aliène à sa
famille et à son mari, desquels elle dépend, étant pauvre, étant chômeuse. Cette
charte est donc fondamentalement sexiste. Notons qu'il n'est pas facile pour une
femme voilée de simplement retirer son voile. Parfois, il s'agit de contraintes
familiales qui l'obligent à le porter; parfois, c'est le dogmatisme religieux
qui ne s'efface pas - et le dogmatisme est une plaie mortelle dont on ne guérit
pas en un instant. [...] Le travailleur n'est pas l'État Les radicaux laïcs affirment que le travailleur ou la travailleuse de la
fonction publique représente l’État. Ainsi, l’État étant laïc, ses représentants
se doivent de l’être également. Or, un regard critique sur la situation
politique montre que rien n’est plus faux. Pour qu’un être représente l’État, il
doit avoir sur lui un certain pouvoir, en faire partie. Néanmoins, la classe
prolétaire et la classe moyenne n’ont aucun pouvoir politique, outre un vote
tous les quatre ans. L’État applique sinon ses lois, décidées par 125 élus,
pantins de la grande bourgeoisie. Cette dernière, et sa classe politique, sont
les seules représentantes de l’État, puisqu’elles ont pouvoir sur lui.
Finalement, cette charte s'oppose à la laïcité, qui impose au gouvernement
une non-intervention dans la vie religieuse. Or, empêcher le port d'un symbole
religieux par un-e travailleur-se est une intrusion étatique dans la vie
religieuse. L'État doit être laïc, pas le peuple : et la démocratie directe,
dictature déguisée, ne fait pas du peuple l'État. Dire aux travailleurs-ses
qu'ils-elles représentent l'État est d'une intense hypocrisie. Si je
représentais l'État, j'aurais droit de regard et de décision sur les lois et sur
les traités qui me concernent. Or, ce droit de regard et de décision n'est
accordé qu'à une poignée d'élus inutiles financés et dirigés par une grande
bourgeoisie capitaliste sans moralité. Lien de l'article : http://charbelhanna.blogspot.ca/2013/08/pistes-de-reflexion-contre-lignoble.html ************************************** Ce qu’ils appellent de l’oppressionpar Fida
Douri - Montréal Il m’arrive de voyager seule par des
journées éclairées et de me demander ce que je dirais dans certaines situations
par simple curiosité. Dans certains cas, ce sont des questions auxquelles je
suis confrontée à devoir répondre un jour ou l’autre. C’est ainsi que je me suis
demandée ce que je dirai si une dame me demandait dans le bus après m’avoir fixé
durant cinq minutes: « Ma chère, il fait 35°c à l’extérieur…que fais-tu avec ce
truc sur la tête et ces longs vêtements…? » Du coup, je serai probablement
étonnée, mais je me dirai que le plus important, c’est d’éclaircir le
malentendu. Je lui dirai, par exemple : « Madame, si vous avez si chaud,
pourquoi ne retiriez-vous pas vos sous-vêtements? Tant qu’à rien avoir, non?
Tout comme vous avez des limites à ce que vous portez, j’en possède aussi. Je ne
porte pas le voile selon un changement de température. Je ne le porte pas non
plus pour plaire ni pour déplaire. Je ne le porte pas selon les tendances de la
mode ou de l’époque ou encore parce que le vent le fait virevolter. Je ne le
porte pas non plus pour renforcer mes cultures et encore moins pour faire
pression sur le pays.Vous serez donc probablement surprise d’apprendre que je porte le voile parce que je me sens plus libre, et vous me direz que je ne comprends pas ce que c’est que d’être libre. Parfait. Je parlerai donc de liberté. Et vous me direz à la fin si je suis aussi libre que vous. Qu’est-ce la liberté? En un premier sens, c’est pouvoir faire ce que l’on veut sans contraintes extérieurs, sans en être empêché. Bien que beaucoup pensent le contraire, mes parents ne m’ont aucunement demandé de dissimuler mes cheveux. Il appartenait à moi et à moi seule de choisir et personne ne m’en a privée. Si quelqu’un venait me forcer de le retirer, il m’ôterait la liberté de le mettre. Dans un deuxième sens, la liberté n’existe pas sans loi. Si je fais vraiment tout ce que je veux et obtient ce que je désire, au lieu d’être libre, je serai prisonnière de mes pulsions, de mes envies. Je ne peux baser ma liberté sur mes penchants. D’un autre côté, si je ne fais qu’obéir aveuglément à des lois que je ne comprends pas et qui, pour moi, n’ont pas de sens, je ne suis pas mieux placée. Être libre, c’est donc avant tout être régie par des lois morales, des règles de conduite que je comprends et que je respecte, des lois avec lesquelles je suis à l’aise. Être libre, c’est être autonome, en accord avec les contraintes que l’on se place. Vous ne le savez peut-être pas mais lorsque je me promène, les gens ne regarde pas mes jambes, ni ma poitrine. Non. Il me regarde moi, mon visage, mes yeux. Parce qu’il n’y a rien d’autre à regarder. Et s’il y a quelque chose que j’admire en ne portant que ce léger tissu sur la tête, c’est que les gens qui me connaissent ne me jugent plus selon mon apparence, mais selon les actions que je pose et la façon dont je pense. Je sais aussi, par exemple, que lorsqu’une personne me regarde dans les yeux, elle se construit des préjugés auxquels je n’ai pas à me soucier. Parce que je sais que, de toute façon, ils sont faux. Une personne qui ne peut voir sous mon enveloppe ne peut qu’utiliser son imagination pour aboutir à une réponse à sa devinette. Puisque je dresse un mur à mon apparence physique, l’autre ne peut rien savoir sur moi que si elle prend contact avec moi. Les gens peuvent bien me juger de l’extérieur, ça ne me touche aucunement parce que j’ai la certitude qu’ils ne me connaissent pas. Au dessus de toutes ces raisons, madame, la véritable cause de ce voile, c’est parce que je ne suis qu’un être humain imparfait. Je suis consciente que je ne peux pas créer des lois morales parfaites. Du coup, j’ai besoin d’une force extérieure qui puisse me tendre un coup de main, qui me dise comment garder ma liberté. J’ai besoin d’un être parfait qui ne fasse pas partie intégrante de la société. Le temps passe, la société change et changera, mais pas Lui. Si je porte ce vélum, madame, c’est parce que je crois en Dieu, et qu’en moi, j’ai la certitude qu’il existe. Lorsqu’il dit aux femmes de porter le voile, je sais que ce tissu ne peut pas me blesser. Je sais aussi que c’est pour mon bien qu’on me dit de le mettre. Ce n’est qu’en le portant que j’ai découvert le bien qu’il me procurait, que j’ai pris connaissance de la liberté qui l’accompagnait et que je me souris discrètement lorsqu’on me lance des regards stupéfaits dans le bus. Mais pour le porter, j’ai cru en Dieu. Si c’est pour demeurer libre, je n’hésiterai pas à le croire. Qu’il fasse chaud ou froid, je serai toujours fière de porter ce qui garantit ma liberté. Et je serai curieuse d’entendre parler de la vôtre. » |
The Month of Meaning
by Tariq Ramadan Ramadan is a month of abrupt changes ; this is true here more than anywhere else. At the heart of our consumer society, where we are used to easy access to goods and possessions and where we are driven by the marked individualism of our daily lives, this month requires from everyone that we come back to the centre and the meaning of our life. At the Centre there is God and one’s heart, as the Qur’an reminds us : “…and know that [the knowledge of] God lies between the human being and his heart.” At the Centre, everyone is asked to take up again a dialogue with The Most-High and The Most-Close.. a dialogue of intimacy, of sincerity, of love. To fast is to seek.. with lucidity, patience and confidence.. justice and peace with oneself. The month of Ramadan is the “month of the Meaning”.. why this life ? What about God in my life ? What about my mother and my father.. still alive or already gone ? What about my children ? My family ? My spiritual community ? Why this universe and this humanity ? What meaning have I given to my daily life ? What meaning am I able to be consistent with ? The Prophet of Islam (peace be upon him) had warned “Some people only gain from their fast the fact that they are hungry and thirsty.” He was speaking of those who fast as mechanically as they eat. They deprive themselves from eating with the same unawareness and the same thoughtlessness as they are used to eating and drinking. In fact, they transform it into a cultural tradition, a fashionable celebration, even a month of banquets and “Ramadan nights”. A fast of extreme alienation.. a fast of counter-meaning. As this month invites us towards the deep horizons of introspection and meaning, it reminds us of the importance of detail, precision and discipline in our practice. The precise starting day of Ramadan that must be rigorously found ; the precise hour before dawn on which one must stop eating ; the prayers to be performed “at determined moments” ; the exact time of the break of fast. At the very time of our profound meditation with God and in our own self, one could have thought that it was possible to immerse oneself into one’s feelings because this quest for meaning is so deep that it should be allowed to bypass the details of rules and schedules. But the actual experience of Ramadan teaches us the opposite : no profound spirituality, no true quest of meaning without discipline and rigor as to the management of rules to be respected and time to be mastered. The month of Ramadan marries the depth of the meaning and the precision of the form. There exists an “intelligence of the fast” that arises from the very reality of this marriage between the content and the form : to fast with one’s body is a school for the exercise of the mind. The abrupt changes implied by the fast is an invitation to a transformation and a profound reform of oneself and one’s life that can only occur through a rigorous intellectual introspection (muraqaba). To achieve the ultimate goal of the fast our faith requires a demanding, lucid, sincere, and honest mind capable of sane self-criticism. Everyone should be able to do that for oneself, before God, within one’s solitude as well as within one’s commitment among one’s fellow human beings. It is a question of mastering one’s emotions, to face up to oneself and to take the right decisions as to the transformation of one’s life in order to come closer to the Centre and the Meaning. Muslims of today need more than ever to reconcile themselves with the school of profound spirituality along with the exercise of rigorous and critical intelligence. Particularly in the West. At a time where fear is all around, where suspicion is widespread, where the Muslims are tempted by the obsession to have to defend themselves and to prove constantly their innocence, the month of Ramadan calls them to their dignity as well as to their responsibilities. It is urgent that they learn to master their emotions, to go beyond their fears and doubts and come back to the essential with confidence and assurance. It is imperative too that they make it a rule for themselves to be rigorous and upright in the assessment of their conduct, individually and collectively : self-criticism and collective introspection are of the essence at every step, to achieve a true transformation within Muslim communities and societies. Instead of blaming “those who dominate”, “the Other”, “the West”, etc. it is necessary to make ours the teaching of the month of Ramadan : you are, indeed, what you do of yourself. What are we doing of ourselves today ? What are our contributions within the fields of education, social justice and liberty ? What are we doing to promote the dignity of women, children or to protect the rights of the poor and the marginalised people in our societies ? What kind of models of profound, intelligent and active spirituality do we offer today to the people around us ? What have we done with our universal message of justice and peace ? What have we done with our message of individual responsibility, of human brotherhood and love ? All these questions are in our hearts and minds.. and there is only one response inspired by the Qur’an and nurtured by the month of Ramadan : God will change nothing for the good if you change nothing |
Laïcité, voile et tourments
------------------------------------------- Les regrets d’un tourmenté Dans votre esprit, à pied, à travers le temps Comme une étoile. Rejetez vos vieux visages. Plein de tristesse et de dépit. La brillance d’un nouveau paysage. D’un nouveau passage, une nouvelle page. --------------------------- Allah veut vous éclairer, vous montrer les voies des hommes d'avant vous, et aussi accueillir votre repentir. Et Allah est Omniscient et Sage. ( سورة النساء , An-Nisa, Chapter #4, Verse #26) |
E-bulletin: World Press Photo 2012
World Press Photo 2012 - Bilal Malas - étudiant du secondaire & éditeur du E-bulletin Après avoir visité l’exposition organisée par World Press Photo 2012 à Montréal, j’eus aucun doute concernant la brillance du concept de photojournalisme et ses impactes. Dans les prochaines lignes, je parlerai de mon expérience et de la définition même du World Press Photo. World Press Photo est une organisation indépendante et non lucrative fondée en 1955 et basée à Amsterdam, Pays-Bas. World Press Photo est déterminé à soutenir et à promouvoir des normes élevées dans le photojournalisme et la photographie documentaire à travers le monde. L’organisme s’efforce de créer un vaste intérêt public et son appréciation pour le travail des photographes et pour le libre échange d'informations. Le concept du concours est de regrouper les photos les plus ingénieuse prisent de l’actualité, et les classer, selon différentes catégories (Révolution, Nature, Nouvelle général, Maladies, Etc.). Ensuite, le tout est présenté dans un lieu ouvert au publique. Se laisser guider par l’ingéniosité qu’une image, vaut mille mots. Après cette promenade cultivatrice, j’appris énormément sur les différentes facettes de la vie. Que ce soit des pires adversités humaines ou animales, aux beautés époustouflantes de la nature ou à la révolution acharnée d’un peuple pour la justice, la liberté d’expression et l’amour. Une façon unique et original de présenter ce qu’on ne voit pas dans les journaux, ou aux nouvelles internationales populaires. Je trouve cela dommage, puisqu’il y a largement à apprendre et à découvrir sur ce qui est différent de ce qui nous entoure. Tout cela m’a bien fait philosopher. Je me sens extrêmement fortuné d’être ici au Québec. J’ai enfin pu gouter à un beaucoup plus pur échantillon de l’injustice qui rode les terres corrompues éparpillées sur notre planète. La planète qu’habite l’homme, l’homme créateur d’injustice. Merci World Press Photo 2012. ‘’Nous existons pour inspiré la compréhension du monde à travers la qualité du photojournalisme.’’ – World Press Photo Source de la photo: Aranda, S. (2012), World Press Photo of the year 2011 [Photograph]. Retrieved 3 December, 2012, from World Press Photo, http://www.worldpressphoto.org/photo/world-press-photo-year-2011-0 *****************Hadith of the month by the E-Newsletter team*************** "Seven kinds of people will be sheltered under the shade of God on the Day of Judgment...They are: a just ruler, a young man who passed his youth in the worship and service of God...one whose heart is attached to the mosque...two people who love each other for the sake of God...a man who is invited to sin...but declines, saying 'I fear God'...one who spends his charity in secret, without making a show...and one who remembers God in solitude so that his eyes overflow." Riyadh-us-Salaheen, Hadith 376. ********Disclaimer********** The content of this newsletter does not necessarily concur with MAC's ideology. Le contenu des articles dans ce bulletin ne correspond pas nécessairement à l'idéologie et l'opinion de MAC. |
Votre 1er E-Bulletin / Your 1st E-Newsletter...Eid Moubarak!
On our Eid Al Adha, our 1st Monthly Newsletter. Released 25/10/2012. The story of `Eid Al-Adha is the story of testing Prophet Ibrahim’s faith in Allah. Both the Qur'an and the Torah record the high drama narratives of the story.First, Muslims must avoid self-indulgence. Our achievement through our mental faculty must be tempered with piety (humility) lest our attainment make us arrogant and cause us to be cut off from the blessing of nearness to Allah. Enjoy your Eid. Pass a great time with family...and have a blast with your friends! ********************Article************************ Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté Bilal Malas - Étudiant du secondaire - Montréal Et voilà le 17 octobre, la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté. Une journée qui ne nous affecte pas seulement au moment même, mais plutôt, à tous les jours. Que ce soit en Amérique du Nord, ou en Afro-Eurasie, tout le monde ce tient debout. Ce tient debout pour un partage d’affection et de condoléances. Une journée qui nous rassemble tous, nous en tant qu’être humain égaux, à dénoncer la misère dans notre entourage et partout dans le monde. Pendant ce jour ci, on honore la conviction de ceux qui sont victimes de la faim, de l’ignorance et de la violence. Mais ce n’est pas seulement une action de se tenir debout ou de la dénoncer, mais c’est aussi d’agir avec courage et volonté, parce qu’au fond, on est tous responsable de nos semblables. Prendre ferme position pour passer le message et répandre la volonté d’aller de l’avant et assurer une équivalence de vie pour chaque individu singulier qui met ou qui va mettre les pieds sur cette planète, notre planète. Pas seulement pour le présent, mais aussi pour le passé et le futur. De chérir et de conduire la volonté de ceux qui voulait de même, une justice égale et honnête pour tous et de bâtir un avenir d’espoir et résultat pour les prochaines générations. Je remercie énormément l’assemblé général de l’ONU et l’ATD Quart Monde pour avoir mis un point commun pour officiellement dénoncer la dèche et la misère. Et j’aimerais surtout exprimer ma reconnaissance au Père Joseph Wresinski, qui a lui-même témoigné de la misère elle-même et qui a inspiré le monde à agir. Je passe le message à tout ce qui ont les yeux posés sur ceci, de participer à l’amélioration d’un meilleur vivre sur terre. En l’honneur de la vôtre, la mienne et celle de l’humanité. "Là où des hommes sont condamnés à vivre dans la misère, les droits de l'homme sont violés. S'unir pour les faire respecter est un devoir sacré." - Père Joseph Wresinski (1917-1988) Il ne faut surtout pas oublier ce que l’Islam et le prophète Mohammed (p.b.l) nous enseignent sur nos choix éthiques et moraux « ô les croyants ! Observez strictement la justice et soyez des témoins (véridiques) comme Allah l'ordonne, fût-ce contre vous mêmes, contre vos père et mère ou proches parents. Qu'il s'agisse d'un riche ou d'un besogneux… » 4:135 ********Disclaimer********** The content of this newsletter does not necessarily concur with MAC's ideology. Le contenu des articles dans ce bulletin ne correspond pas nécessairement à l'idéologie et l'opinion de MAC. |